Voss-Ka

Le conseil nous autoriser à mener la mission sur Voss. Avec Gnost Dural, nous avons embarquer sur une frégate de la république pour commencer notre tâche. Aujourd’hui, le vaisseau sort de l’hyperespace et reste en orbite. Nous embarquons dans une navette qui décolle et quitte le hangar. Mon maitre demande mon avis sur les conditions de la mission.

T-« Je suis d’accord avec le conseil. Certes on peut le voir comme un ordre d’inaction lors de problèmes qui peuvent se présenter, une interdiction d’aider. Mais Voss ne fait pas partie de la république et en tant qu’étranger, nous n’avons nullement le droit de décider ce qu’il se passe là-bas, ou de dicter nos lois. Nous nous battons contre l’empire qui cherches a soumettre toutes vies à leurs codes, mais si nous imposons nos actions et nos vues sur Voss, nous ne serions que des siths déguisés.»

G-« Très bonne réponse Padawan. Un jedi agis pour autrui, mais lorsqu’il pense qu’au nom du bien, il peut imposer des choses et ignorer les lois et les principes, il devient un jedi noir, un dictateur. Un exemple : certains jedis pensent que par le fait que les voss ne voit aucun cotés à la Force, ce peuple utilise dangereusement la Force, voir même que les mystiques dominent le peuple par leur pouvoir. »

T-« Mais n’est-ce pas pour le découvrir que nous sommes là ? »

G-« Tout à fait padawan, il n’y a pas d’ignorance, il n’y a que la connaissance. Nous allons arriver, reste calme et silencieux. Les voss sont un peuple respectant grandement la politesse. »

J’acquiesce et ressent la navette qui commence son atterrissage. Une fois que le calme est revenu, je me lève de mon siège et sort avec mon maitre. Je regarder avec intérêt et attention l’enclave alien de Voss-ka. Un droide de protocole nous accueilles et nous conduis dans nos quartiers pour que puissions nous installer. Maitre Dural n’ayant pas rendez-vous avant un moment, nous reprenons l’entrainement avec les droides sphères

L’entrainement dans la parade s’est bien déroulé. Ensuite, je suis mon maitre pour rends visite à un voss. Nous quittons l’enclave alien et à partir de là, je veille à être irréprochable pour éviter de mettre mon maitre en difficulté. Une fois dans le bâtiment, Maitre Dural me demande de m’assoir et de l’attendre. Il me confie un datapad pour que je puisse étudier nos renseignements sur les voss, je le prends en le remerciant et le laisse entrer. J’ignore pourquoi il ne me laisse pas assister a cette rencontre… Trop tôt, peut-être ? Ou simplement parce que je n’ai encore pu finir de me renseigner suffisamment sur ce peuple. Enfin, qu’importe la raison, je me dois d’obéir et de faire confiance à mon maitre pour qu’il puisse à son tour me faire confiance.

Les minutes passent tandis que je consulte le datapad en apprenant la culture voss, du moins ce que l’on sait. Les mystiques ont des visions via la force, et non seulement elles se réalisent toujours, selon Voss, mais ce sont ces visions qui guident le peuple Voss. Ajouter un manque de notion claire et obscure de la Force, certains jedis voient les voss comment des enfants courant un danger, voir une société ou les mystiques imposent leurs autorités. Ce qui d’après d’autres jedi, n’a pas l’air d’être le cas, les jedis méfiants évoque la subtilité du coté obscure. J’avoue être songeur : ce que nous avons défini comme coté obscure et le penchant qui puise dans l’émotion et confère des pouvoirs ou il est rapide de vaincre un ennemi. Hors plus on goute à la facilité, plus on utilise ces capacités destructrices plus souvent et on risque de se débarrasser de toutes morales. Je remarque une note intéressante, les mystiques sont formés mais tout le monde ne peut pas prétendre mystique, même des initiés peuvent échouer. L’élève doit avoir une vision pour un mystique… et puisque la vision se réalise toujours, il ne peut pas mentir sans prendre aucun risque.
Plus tard, un voss se tiens devant moi, songeur.

-« Dites-moi étranger, est ce qu’un jedi est présent de cette pièce ?»

-« En effet, mon maitre est là. Il m’a demandé de l’attendre. »

-« Très bien, dites-moi, pourquoi votre malin désire nous parler ? »

-« Mon maitre recherche la connaissance et s’intéresse à l’histoire. Il désire connaitre la culture voss, comment fonctionne son gouvernement.»

-« Les mystiques voient, les interprètes parlent, les trois agissent. C’est ainsi que voss prospère et survie.»

-« Et comme il y a plusieurs interprètes, les trois peuvent couvrir toutes les possibilités qu’offre une vision. » Ce qui signifie que les mystiques ne domine pas puisqu’ils ne peuvent interpréter leurs visions et même les interprètes ne peuvent prendre une décision.

-« Vous avez vite compris, ce n’est pas le cas de la plupart des étrangers. Encore une question, pourquoi vous et votre maitre désirez-vous nous connaitre. Certains jedis sont venu avant vous nous ont parler de deux côtés de la Force, des dangers d’un côté obscur. »

-« Je ne peux pas parler au nom de ces jedis, mais mon maitre et moi ne sommes pas pour dicter votre conduite. Votre vision et utilisation de la Force diffère de la nôtre, mais peut être que nous pourrions apprendre de vous. Dans tous les cas, nous sommes étranger ici, faire le premier pas pour que deux peuples se connaissent me parait naturel.»

-« Vous n’êtes pas Voss, toutefois si votre maitre est éclairé et sait écouté, peut être que vous pourriez apprendre. »

Le voss me salue et entre dans la pièce. Je me rends compte alors que j’ai peut-être discuter avec la personne que va rencontrer Maitre Dural, je n’espère ne pas avoir compromis la mission.

L’attente est longue mais la lecture me permet de m’occuper. Comme l’a expliqué le passant Voss, les Mystiques ne dirigent pas Voss-ka, ce sont les Trois. Maintenant on pourrait penser que les interprètes peuvent mentir sur une vision… sauf que la vision doit se réaliser et les interprètes, comme les mystiques remplissent leurs rôles par devoir. Je continu de suivre les critères de sélection des mystiques. Visiblement, les mystiques ont des visions, mais ils ne les commandent pas… Les écrits d’un érudit jedi constate que les mystiques sont plus réceptifs aux visions mais non pas des visions sur commande. Ce qui fait, comme il le souligne, un détail important quand on cherche a savoir si un mystique abuse de son pouvoir pour dominer autrui. Maitre dural sort de la salle, je me lève et attends ses instructions.

-« Nous avons l’autorisation d’accéder à l’ensemble des documents non officiels de Voss. Notamment sur le sanctuaire de guérison. J’espère que tu es prêt pour de la traduction. »

-« Toujours Maitre. »

-« Parfait, allez, on rentre. Au fait, qu’as-tu appris sur les documents ? »

-« Que les mystiques ne sont pas là pour dominer, ils participent en rien aux décisions. Mais si c’est le cas pour Voss, qu’en ait il des gormaks ? Ils sont en guerre après tout, mais il faudrait en savoir plus sur eux. »

-« Mais s’ils voulaient annihiler les gormaks, les voss ne seraient pas dans cette situation. »

-« Les visions n’arrivent pas sur commande, ni celles qu’on désires. Je pense que la réponse se trouve dans l’histoire des Voss. »

-« En effet, au fait, tu as bien fait de répondre honnêtement. Le voss était intéressé et il veut mieux parler plus qu’un silence impoli. »

Je souris et continue de suivre mon maitre. Nous allons passez la fin de la journée à commencer les traductions : nous sommes les 1er a avoir accès à ces documents, il est donc normal que le langage soit d’origine.

Voila plusieurs jours que je passe mon temps dans la traduction des textes. A deux, cela aurait été plus vite, mais mon maitre a pris la sage décision de me laisser la tache pour continuer a rencontrer les voss. Le plus difficile dans cette tache, sur le long terme, est de pouvoir toujours lire le texte après traduction des mots, pour adapter certaines phrases et maintenir la cohérence. J'en apprends beaucoup sur la culture voss. Visiblement, chacun doit remplir son rôle dans les visions voss pour permettre son accomplissement. En réfléchissant bien, les voss se sacrifient pour leur peuple et la survie de Voss ka, même lorsqu'il de se sacrifier. Ce genre d’extrémité pourrait s'apparenter au coté obscure, cependant, les voss semblent volontaires et ne tuent pas autrui pour permettre une vision de s’accomplir. Chez les jedi, ne dit on pas "il n'y a pas de mort, il y a la Force"?. En vérité, même un mystique peut être amener a devoir se sacrifier pour son peuple.

Parmi les écrits, j'apprends l'existence du sanctuaire de guérison, lieu de pèlerinage, de méditation et où les mystiques y vont pour leurs formations et où les guérisseurs soignent corps et esprits. Quant aux écrits sur les gormaks, elles parlent d'un peuple barbare et sanguinaire, comme je m'en doutais, mais elles notent un point intéressant: si ce peuple n'a aucun lien avec la Force, elle possédè un talent immense en technologie, avec peu, ils sont capable de faire un grands bon. C'est peut être la raison pour laquelle, avec le fait que les visions ne viennent pas sur commande, que les gormaks rivalisent avec les voss. Il existe aussi les terres de cauchemars, ces lieux rendent les gens fous, un mal puissant réside.

Je termine un texte et marque une pause, après je reprendrai mon entrainement. Sur les images prisent par des explorateurs de la république, je remarque des ruines, mais elle ne ressemble pas aux voss. L'une d'elles se trouve au pieds de Voss ka, décidé d'en savoir plus, je prends des jumelles et me rends au bord de la falaise. Quelques instants plus tard, j'observe les ruines et remarque des....; statues de jedis? Comme ceux sur Tython ou Alderaand? Assez anciennes? Mais Voss n'a été découvert que récemment! Comment cela se fait t'il? Cette découverte me bouleverse un instant: aucune mention par nos maitres, et pourtant, les jedis sont déjà venu sur Voss. Il faut que j'en parle a Maitre Gnost Dural a son retour pour qu'on puisse consulter les archives... Mais la possibilité que la partie concernant Voss ait été détruite lors du sac de Coruscant n'est pas à exclure.

J'ai passé la matinée à scruter les ruines depuis mon perchoir. Soudain, je sens la présence de mon maitre et je lève pour venir à sa rencontre. Je lui présente mes excuses et lui explique la raison de ma présence.

-"Tu n'as spécialement mal fait d'en vouloir plus. Et je te félicite d'avoir respecter les règles de notre mission et des voss. Rentrons, tu dois écrire des notes a ce propos."

-"Mais Maitre, ce n'est pas notre mission, est ce bien prudent que je dévie de notre tache?"

Il rie un peu et pose sa main sur mon épaule.

-"Thiodar, remplir sa tâche est une chose. Mais tout comme des civils en danger peuvent apparaitre soudainement. Tu ne dois pas détourner les yeux sur ce que tu as remarquer, nous poursuivrons notre mission. Mais tu as bien le droit de confier au conseil ce que tu as vu."

J’acquiesce et le suis pour faire une synthèse, puis un peu d'exercice. Demain, je me concentre entièrement sur notre mission. je lui demanderai si nous pouvons venir parler au peuple.

Les jours ont défilés, j'ai appris beaucoup dans mes entrainements comme durant mon travail. Avec maitre Dural, nous avons eu la permission de parler avec des voss intéressés par les autres peuples. On pourrais les croire froids et sans émotions, mais ce n'est qu'une façade. J'ai beaucoup échanger à un commerçant qui acheté des babioles étranger. Je lui ai même acheter une pièce de sabre laser, une "camelote" d'après lui.

Aujourd'hui, nous montons dans la navette qui décolle sur le croiseur en partance pour Tython. Durant la trajet, Maitre Dural me demande.

-"Alors Thiodar, qu'as tu appris de cette expérience?"

-"Que la Force ne peut se limiter qu' à la seule conception des jedis et des siths. Certains disent que les voss sont des enfants, qu'ils se rapprochent du coté obscur. Mais en réalité, qui sait qu'elle serait notre histoire si nous avions eu leur vision de la force et une telle loyauté envers notre peuple? Est ce que la société sith aurait vu le jour?"

-"Tu as beaucoup appris, et pas seulement en aptitude. Il faut beaucoup de volonté pour apprendre, mas encore plus pour remettre en question ce que l'on sait. Le savoir n'est pas toujours fixe, il faut parfois la corriger ou la vérifier. A notre arriver sur Tython, je ferai mon rapport. Tu auras quartier libre en attendant. Tu l'as bien mériter, comme cette pièce de sabre laser acheté au marché. Après tout, elle est la preuve que nous sommes parvenus a établir un contact avec Voss."

Je suis content de nous, de notre travail. La fierté à l’excès mène à l'arrogance. Mais ce n'est pas un mal d'être content des fruits de son labeur, des efforts fournis. On peut même s'en servir pour se motiver à poursuivre de nos progrès.